LA VOYANCE
Le fait d'annoncer des événements futurs confère au voyant un certain prestige, mais surtout une grande responsabilité.
Celui qui interroge, attend une réponse à ses questions, à ses préoccupations et parfois à ses angoisses. Cette réponse va influencer et cette influence doit s'exercer toujours dans le bon sens.
Lorsqu'une personne pénètre dans un cabinet de voyance, il doit se créer une atmosphère qui se détend au fur et à mesure que se déroule la consultation.
Dès les premiers instants le "véritable voyant" ressent comme une image psychique de cette personne qu'il se garde bien d'interroger.
Faire parler le consultant est ce dont il se méfie, car c'est l'attitude du voyant qui n'a rien à dire. Cette "voyance directe", qui est ressenti, va être complétée par un support qui peut être les cartes, le tarot, la boule de cristal ou tout autre.
Parfois, certains ont besoin d'entendre parler de leur passé, pour que s'instaure la confiance nécessaire. Dans ce cas, il convient de ne pas s'y attarder. Le consultant n'est pas venu pour cela. Son passé, il le connaît et il est bon de ne l'évoquer que pour éclairer l'avenir.
Ensuite, c'est la consultation profonde à laquelle il faut consacrer tout le temps nécessaire pour traiter tous les sujets de préoccupation : santé, profession, amour, famille, études, etc... Faire comprendre à l'autre qu'il reste trop longtemps serait affaiblir sa confiance et les possibilités de l'aider.
Le voyant doit connaître les limites de sa compétence et ne pas vouloir se dépasser en annonçant, par exemple, chaque fois des dates précises, alors qu'il doit savoir que la voyance ne maîtrise pas le temps.
Il ne s'agit pas de répondre en fonction des désirs du consultant, même si celui-ci n'est venu que pour entendre ce qui lui convient.
Le voyant doit loyalement exprimer ce qu'il voit et ce qu'il ressent. Encore faut-il qu'il soit compétent, qu'il sache s'exprimer clairement, qu'il ne se contente pas de prédire, mais qu'il ait le désir d'apporter son aide.
Pour la personne qui subit une solitude, que celle-ci soit totale ou seulement morale, le voyant devient le confident, celui à qui il est possible de parler de soi, celui qui sait écouter et rassurer. Il ne faut surtout pas la décevoir, car ce serait la rejeter dans une situation aggravée qui lui ferait courir davantage de risques.
Le fait d'annoncer des événements futurs confère au voyant un certain prestige, mais surtout une grande responsabilité.
Celui qui interroge, attend une réponse à ses questions, à ses préoccupations et parfois à ses angoisses. Cette réponse va influencer et cette influence doit s'exercer toujours dans le bon sens.
Lorsqu'une personne pénètre dans un cabinet de voyance, il doit se créer une atmosphère qui se détend au fur et à mesure que se déroule la consultation.
Dès les premiers instants le "véritable voyant" ressent comme une image psychique de cette personne qu'il se garde bien d'interroger.
Faire parler le consultant est ce dont il se méfie, car c'est l'attitude du voyant qui n'a rien à dire. Cette "voyance directe", qui est ressenti, va être complétée par un support qui peut être les cartes, le tarot, la boule de cristal ou tout autre.
Parfois, certains ont besoin d'entendre parler de leur passé, pour que s'instaure la confiance nécessaire. Dans ce cas, il convient de ne pas s'y attarder. Le consultant n'est pas venu pour cela. Son passé, il le connaît et il est bon de ne l'évoquer que pour éclairer l'avenir.
Ensuite, c'est la consultation profonde à laquelle il faut consacrer tout le temps nécessaire pour traiter tous les sujets de préoccupation : santé, profession, amour, famille, études, etc... Faire comprendre à l'autre qu'il reste trop longtemps serait affaiblir sa confiance et les possibilités de l'aider.
Le voyant doit connaître les limites de sa compétence et ne pas vouloir se dépasser en annonçant, par exemple, chaque fois des dates précises, alors qu'il doit savoir que la voyance ne maîtrise pas le temps.
Il ne s'agit pas de répondre en fonction des désirs du consultant, même si celui-ci n'est venu que pour entendre ce qui lui convient.
Le voyant doit loyalement exprimer ce qu'il voit et ce qu'il ressent. Encore faut-il qu'il soit compétent, qu'il sache s'exprimer clairement, qu'il ne se contente pas de prédire, mais qu'il ait le désir d'apporter son aide.
Pour la personne qui subit une solitude, que celle-ci soit totale ou seulement morale, le voyant devient le confident, celui à qui il est possible de parler de soi, celui qui sait écouter et rassurer. Il ne faut surtout pas la décevoir, car ce serait la rejeter dans une situation aggravée qui lui ferait courir davantage de risques.
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